L'arrêt partiel des livraisons de gaz naturel russe affecte déjà la croissance européenne, et un arrêt complet pourrait être beaucoup plus sévère, selon les rapports du .
Développement économique
Le publié par la CNUCED indique que les investissements directs étrangers ont rebondi à près de 1 600 milliards de dollars l'an dernier, mais prévient que ce niveau ne se maintiendra probablement pas en 2022.
Un peu plus de deux ans après que la COVID-19 a provoqué la récession mondiale la plus profonde depuis la Seconde Guerre mondiale, l'économie mondiale est à nouveau en danger. Cette fois, il est confronté à une inflation élevée et à une croissance lente. Le de la présente le risque de stagflation, avec des conséquences potentiellement néfastes pour les économies à revenu intermédiaire et à faible revenu. Une réponse politique énergique et de grande envergure est nécessaire pour stimuler la croissance.
Afin de lutter contre la crise alimentaire, la travaille actuellement avec ses pays clients à la préparation de nouveaux projets d’un montant total de 12 milliards de dollars qui seront lancés dans les 15 prochains mois.
Les tensions sur le commerce, les normes technologiques et la sécurité augmentent depuis de nombreuses années, sapant la croissance et la confiance dans le système économique mondial actuel. L'incertitude entourant les politiques commerciales a réduit le produit intérieur brut mondial en 2019 de près de 1 %, selon une étude du .
La guerre en Ukraine a provoqué un choc majeur sur les marchés des matières premières, modifiant les modèles mondiaux de commerce, de production et de consommation. Ceci pourra avoir pour conséquence des prix à des niveaux historiquement élevés jusqu'à la fin de 2024, selon le dernier de la .
Le consensus sur la nécessité de bâtir une économie plus verte se heurte souvent à la crainte de pertes d’emplois potentielles. Le propose une combinaison de politiques pour faciliter la transition.
Le racisme est une tare de nos sociétés. Et la pandémie est une démonstration flagrante de la façon dont le racisme et la discrimination entravent le développement, avec des conséquences désastreuses pour chacun d’entre nous. C'est pourquoi le s'efforce de mettre fin aux inégalités et à l'exclusion.
Après avoir rebondi en 2021, la croissance mondiale devrait nettement ralentir en 2022, reflétant les recrudescences de la COVID-19, la réduction des mesures de soutien budgétaire et de problèmes d'approvisionnement persistants.
En ce début d’année, le monde lutte contre une pandémie globale et fait face à une urgence planétaire. Ces défis que sont la COVID-19 et les changements climatiques sont interconnectés et nécessitent des solutions intégrées. Le PNUD met en œuvre son afin d'aider les pays à atteindre les ODD – découvrez quelques moments clés à surveiller au cours de cette année !
Des inégalités de la reprise économique à celles de l’accès aux vaccins, en passant par l’aggravation des pertes de revenus et le creusement des écarts d’apprentissage, la COVID-19 a pénalisé de manière disproportionnée les populations pauvres et vulnérables en 2021. Elle inflige de graves reculs au développement et porte un coup dur aux efforts visant à mettre fin à l’extrême pauvreté et à réduire les inégalités. À travers cette série de graphiques, la Banque mondiale propose un tour d’horizon des études qui illustrent la gravité de l’impact de la pandémie alors qu’elle entre désormais dans sa troisième année.
Le développement des capacités productives des pays les moins avancés (PMA) est nécessaire pour renforcer leur aptitude à réagir et à se relever de crises telles que la crise de la COVID-19, et à progresser vers le développement durable, selon la CNUCED.
Faute de mesures résolues pour faire face à cet écart croissant, la COVID-19 continuera de faire des victimes et de détruire des emplois, et de peser longtemps sur l’investissement, la productivité et la croissance dans les pays les plus vulnérables. La pandémie continuera de perturber la vie des populations les plus vulnérables, et les pays enregistreront une hausse de la pauvreté extrême et de la malnutrition, tout espoir d’atteindre les objectifs de développement durable étant ainsi anéantis. Pour réduire cette fracture due à la pandémie, il est nécessaire d’agir tous ensemble pour accroître l’accès aux vaccins, obtenir les financements indispensables et accélérer la transition vers un monde plus vert, numérique et plus inclusif.
Organisé sous les auspices du Conseil économique et social, le se penchera du 6 au 15 juillet sur les moyens de parvenir à une reprise durable et résiliente après la pandémie de COVID-19. Le forum examinera notamment 9 des 17 objectifs de développement durable. Les ministres ainsi que les autres participants discuteront des politiques et de la coopération internationale susceptibles de contrôler la pandémie et ses répercussions et de remettre le monde sur la voie de la réalisation du Programme 2030, dans le contexte de la décennie d’action et de réalisations en faveur du développement durable.
Dans un publié avant le sommet du G7, les dirigeants du , de la , de l' et de l' déclarent qu’il n’y aura pas de reprise généralisée tant que la crise sanitaire ne sera pas terminée. Malgré les avancées impressionnantes enregistrées en matière de vaccination, on assiste en effet au développement d’une pandémie à deux vitesses, l’accès aux vaccins étant réservé aux pays les plus riches, tandis que les plus pauvres sont laissés à la traîne. C’est pourquoi les dirigeants appellent la communauté internationale à renforcer l’appui et la mise en œuvre d’une stratégie coordonnée et mise à l’échelle pour vacciner la planète, grâce à de nouveaux financements.