Entre 2005 et 2020, les Nations Unies ont vérifié plus de 266 000 violations graves commises contre des enfants par des parties aux conflits dans plus de 30 situations de conflit en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient et en Amérique latine, indique l’ dans un nouveau .
Enfants
C’est par le jeu que les enfants découvrent et comprennent le monde qui les entoure. Tout en s’amusant, ils travaillent sur des aspects essentiels de leur développement, notamment le renforcement de leurs compétences motrices, cognitives, sociales et émotionnelles.
La guerre en Ukraine fait peser une menace immédiate et grandissante sur la vie et le bien-être des 7,5 millions d’enfants présents dans le pays. Les besoins humanitaires se multiplient, s’étendant d’heure en heure. L’ intensifie ses efforts pour mener des actions essentielles à la survie des enfants et de leur famille.
Le est une tragédie pour les individus qu’il prend au piège, qui sont souvent les filles les plus vulnérables, les plus pauvres et les plus marginalisées. Phénomène répandu dans le monde entier mais presqu'universellement condamné, c'est une violation des droits humains et une pratique néfaste aux communautés et aux sociétés dans leur ensemble.
De graves violations des droits des enfants lors de conflits sont en hausse dans le monde, avertit l'. Des milliers d’enfants ont payé un prix exorbitant alors que des conflits armés, des violences intercommunautaires et l’insécurité perduraient. Au cours des trois premiers mois de 2021, le nombre total de violations graves vérifiées a légèrement reculé. Néanmoins, les cas vérifiés d’enlèvements et de violences sexuelles ont continué de grimper à un rythme préoccupant – de plus de 50 % et 10 %, respectivement – par rapport à l’année précédente.
La persistance de la pandémie de COVID-19 aggrave les inégalités qui marquent depuis longtemps l’épidémie de VIH, alerte l’UNICEF.
D’après un nouveau rapport de l’UNICEF, le nombre d’enfants handicapés dans le monde est estimé à près de 240 millions. Les enfants handicapés sont désavantagés par rapport aux autres selon la plupart des indicateurs de bien-être relatifs aux enfants, peut-on lire dans ce rapport. « Cette nouvelle étude confirme ce que nous savions déjà : pour exercer leurs droits, les enfants handicapés se heurtent à de multiples difficultés aux effets souvent cumulatifs », a déclaré la Directrice générale de l’UNICEF, Henrietta Fore.
Qui a dit que les enfants ne doivent pas jouer dans la cuisine ? Cuisiner sainement commence dès le plus jeune âge avec le cours de cuisine « Je touche, je sens, je goûte ». Avec l'aide de quelques volontaires, le cours de cuisine pratique de Naheda Slayih donné à Rome propose aux enfants malvoyants d’apprendre à devenir des petits héros de l’alimentation tout en s'amusant !
Productrices : Megan Williams, Charlotta Lomas, Anais Hotin, Marina Sánchez Castelo, Nina Coates
Présentatrice : Anais Hotin, FAO
Photo : FAO/Cristiano Minichiello
Près d'un enfant sur dix dans le monde est soumis au travail des enfants. Si le nombre d'enfants astreints au travail a diminué de 94 millions depuis 2000, cette réduction a ralenti de deux tiers ces dernières années. Cette année, la Journée mondiale contre le travail des enfants (12 juin) s'articule autour des mesures prises en vue de l'. C'est la première Journée mondiale depuis la ratification universelle de la . Visitez le site Web de la pour voir tous les événements organisés dans le monde.
C'est une triste réalité : quand un conflit armé éclate, ce sont les membres les plus vulnérables de la société - à savoir les enfants - qui sont les plus touchés. Les six violations les plus courantes en temps de guerre sont le recrutement et l'utilisation d'enfants, les meurtres, les violences sexuelles, les enlèvements, les attaques contre les écoles et les hôpitaux et le refus de l'accès à l'aide humanitaire. Ce 4 juin marque la Journée internationale des enfants victimes innocentes de l'agression afin de reconnaître les souffrances endurées par les enfants du monde entier, victimes de violences physiques, mentales et émotionnelles, et de mettre l'accent sur l'engagement des Nations Unies dans la protection de leurs droits.
Observée chaque année le 1er juin, la Journée mondiale des parents est l'occasion de rendre hommage au dévouement des parents, à leur engagement et leur sacrifice pour assurer l'avenir de leurs enfants. Les familles sont les premières victimes de la pandémie de COVID-19. Les politiques et pratiques de travail favorables aux familles contribuent à promouvoir la sécurité et le bien-être des enfants. Les vaccins contribuent à la sécurité des familles et des communautés. Ils sont le meilleur espoir que nous ayons de mettre fin à la pandémie de COVID-19 et de recommencer à faire les choses que nous aimons avec les personnes que nous aimons.
La pandémie de COVID-19 a exacerbé la crise de la garde d’enfants et de l’apprentissage. Avec l’interruption de la scolarité, des jeux entre amis et d’autres habitudes appréciées, les comportements régressifs sont de plus en plus courants. Votre enfant peut ainsi avoir du mal à faire des choses qu’il maîtrisait avant, comme être propre et s’endormir, et éprouver des difficultés à gérer sa colère, sa tristesse et son anxiété. L' s'est entretenu avec Nancy Close, maître de conférences au Child Study Center de l’École de médecine de Yale et directrice adjointe du programme d’éducation de la petite enfance de Yale, sur les problèmes que vous êtes susceptible d’observer chez vos enfants.
Une directive atteste que les enfants ont des droits dans le monde numérique, même si la Convention relative aux droits de l’enfant ne les stipule pas explicitement.
Un an après le début de la pandémie, les enfants du monde entier sont confrontés à une nouvelle normalité dévastatrice. L'année dernière, le nombre d’enfants affamés, isolés, maltraités, anxieux a augmenté. Parallèlement, leur accès à l’éducation, aux possibilités de socialisation et à des services essentiels tels que la santé - y compris les vaccinations de routine -, la nutrition et la protection a diminué, explique l'.
Une nouvelle étude réalisée par l’Organisation mondiale de la Santé () et des partenaires montre que la pandémie de COVID-19 nuit gravement à la qualité des soins prodigués aux nouveau-nés chétifs et malades, et cause ainsi des souffrances et des décès inutiles. Laisser les mères et les enfants ensemble pourrait permettre de sauver plus de 125 000 vies, estime l’OMS.