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Գé

La Journée mondiale de la santé, ce mardi 7 avril, est l’occasion de rendre hommage au travail du personnel infirmier et des sages-femmes à l’heure où de nombreux pays luttent contre la 貹Իé de COVID-19. Il s’agit de rappeler aux dirigeants de la planète le rôle déterminant que ces personnels jouent, au quotidien, pour préserver la santé des populations. En cette Année internationale des sages-femmes et du personnel infirmier, l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) rappelle qu’il est vital de faire en sorte que ces ressources humaines soient suffisamment solides afin que, partout, chacun puisse bénéficier des soins dont il a besoin. Le 7 avril, l’OMS publiera le premier rapport sur le personnel infirmier dans le monde.

Stay active

Alors que la 貹Իé de COVID-19 continue de se propager dans de nombreux pays, les pratiques de distanciation physique et sociale deviennent de plus en plus courantes. Mais cela ne signifie pas pour autant que nous devons cesser d'être actifs et que nous devons couper les liens avec nos entraîneurs, nos coéquipiers ou nos instructeurs. D'ici au 6 avril, date de la , vous pouvez participer à plusieurs campagnes sur les réseaux sociaux afin de rester en bonne santé et de faire preuve d'actes de solidarité. 

Le sur le coronavirus dispense des conseils simples et concrets destinés aux professionnels de santé, aux éducateurs, aux associations, aux pouvoirs locaux et aux entreprises.

L'Agence des océans, partenaire du PNUE, vous invite à explorer les océans et leurs formes de vie étonnantes... de chez vous.

Afin de se préparer à une récession mondiale conséquente à la 貹Իé de COVID-19, le Groupe de la Banque mondiale s’engage à déployer jusqu’à 160 milliards de dollars d’engagements au cours des 15 prochains mois. Ces opérations, qui seront adaptées à la nature du choc subi par chaque pays, comprendront des financements en soutien à la lutte contre la pauvreté, à la protection sociale et aux réformes structurelles, dans l’objectif d'accélérer la vitesse de rétablissement et d’installer les conditions d’une croissance diversifiée et durable.

Les Nations Unies ont besoin de deux milliards de dollars afin de protéger des millions de personnes et d’empêcher le nouveau coronavirus de refaire le tour du monde. Une approche globale est la seule façon de lutter contre le COVID-19, a souligné l’ONU, lors du lancement de ce ǴǰDzԲé.

WHO and public health experts are deep in discussion whilst one writes notes. They are dressed in head-to-toe protective gear including face masks.

Face à la 貹Իé de COVID-19 dans le monde, les équipes de pays des Nations Unies renforcent leur soutien aux autorités nationales, tout en apportant leur appui aux intervenants de première ligne et en aidant les pays vulnérables à renforcer leur infrastructure de santé. L'Organisation mondiale de la Գé (OMS), en collaboration avec ses partenaires, fait en sorte que les fournitures essentielles, notamment les équipements de protection, parviennent aux professionnels qui soignent les patients dans les services.

La 貹Իé du COVID-19 n’est pas seulement un enjeu sanitaire. C’est un choc profond pour nos sociétés et nos activités économiques, et les femmes sont au cœur des initiatives prises actuellement pour dispenser des soins et prendre différentes mesures. ONU Femmes est en train de mettre à jour les informations et les analyses sur la façon dont les questions de genre comptent dans la réponse au COVID-19.

Alors que les fermetures d'établissements concernent près de 80% des écoliers et étudiants dans le monde, l'UNESCO a organisé une réunion en ligne d'un groupe ad hoc de ministres de l'éducation qui ont échangé des informations sur les mesures d'intensification déployées dans leurs pays pour aider les enseignants, les parents et les élèves à faire face à l'apprentissage à domicile. Ils ont également souligné les nouveaux défis nécessitant une coopération mondiale.

La flambée de maladie à coronavirus (COVID-19) touche de plus en plus de pays. Tandis que les Nations Unies continuent d’aider les plus vulnérables dans ce contexte de crise sanitaire, un formidable esprit de solidarité humaine s’est mis en place en de nombreux endroits du monde. A New York, par exemple, des habitants ont fait don de fournitures pour des enfants scolarisés à la maison. A Bruxelles, le Centre régional d’information des Nations Unies a distribué 3 100 masques chirurgicaux, qui se trouvaient dans ses réverses, au personnel de santé de plusieurs établissements en Belgique. Cet élan de solidarité doit devenir encore plus contagieux que le virus lui-même. C’est aussi dans cet esprit qu’a été lancé, le 13 mars, le .

men with masks unloading truck

Face aux conséquences sociales et économiques liées au COVID-19 au sein d’un très grand nombre de pays, les Nations Unies mobilisent l’ensemble de son personnel afin d’aider les gouvernements touchés et soutenir les efforts de maîtrise et de prévention de la maladie. Tandis que l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) continue de coordonner la lutte contre la 貹Իé, les équipes de pays de l’ONU, ainsi que ses fonds, agences et programmes, travaillent avec les autorités locales pour appuyer les plans de réponse nationaux.

La est le premier traité international négocié sous les auspices de l’. Elle a été adoptée par l’Assemblée mondiale de la Գé le 21 mai 2003 et est entrée en vigueur le 27 février 2005. Elle est devenue depuis l’un des traités ayant remporté la plus rapide et la plus large adhésion dans l’histoire des Nations Unies. Élaboré face à la mondialisation de l’épidémie de tabagisme, ce traité se fonde sur des données factuelles et réaffirme le droit de tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. La Convention représente un jalon dans la promotion de la santé publique et apporte une dimension juridique nouvelle à la coopération internationale en matière de santé.

Alors que le nouveau coronavirus (COVID-19) continue de se propager, l'Organisation mondiale de la Գé s'attaque à certaines idées reçues et à la désinformation entourant cette flambée de maladie, apparue pour la première fois en décembre 2019, dans la ville chinoise de Wuhan. Voici quelques exemples de questions :

  • Les animaux domestiques peuvent-ils propager le nouveau coronavirus ?
  • Les antibiotiques sont-ils efficaces pour prévenir et traiter l'infection ?
  • Les sèche-mains sont-ils efficaces pour tuer le COVID-19 ?

La Suède accueille la Troisième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière, les 19 et 20 février 2020, dont les travaux seront axés sur la mise en œuvre des objectifs de développement durable à l’horizon 2030. Coparrainée par l’Organisation mondiale de la Գé (OMS), elle doit réunir des représentants de plus de 80 pays et d'organisations internationales, ainsi que des responsables du monde académique, de l’industrie et de la recherche. Elle sera l’occasion d’échanger les succès enregistrés dans la mise en œuvre du .

Le fait que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ait qualifié la situation de est un appel à l’action pour tout le monde, partout. En combattant le virus, nous ne pouvons pas laisser la peur devenir virale, souligne le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres. Le système des Nations Unies à faire face à la crise sanitaire provoquée par l’épidémie de coronavirus Covid-19 dans le monde, et ce, sur plusieurs fronts : notamment par le biais de rapports de situation, de directives techniques, de financements et de partenariats. L’Organisation mondiale de la Գé (OMS) met à la disposition du public , qui a été signalée pour la première fois à Wuhan, en Chine, le 31 décembre 2019. L’ONU et l'OMS travaillent en étroite collaboration avec les experts mondiaux, les gouvernements et les partenaires pour suivre la propagation et la virulence du virus et donner des conseils aux pays et aux individus sur les mesures à prendre pour protéger la santé et empêcher la propagation de cette flambée.