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Migrants

Ditraiza Ramírez est une cheffe d’entreprise immigrée du Venezuela qui vit à Cali, en Colombie. Pendant son temps libre, elle aide les migrants à connaître leurs droits à la protection sociale.

La jungle du Darien, entre la Colombie et le Panama, est l’un des itinéraires migratoires les plus dangereux et les plus effrayants du monde.

Ruma, veuve et mère célibataire d'une petite ville du sud du Bangladesh, a été victime de harcèlement social après la mort de son mari, ce qui l'a obligée à émigrer. Grâce à un mariage arrangé de complaisance, elle est arrivée en Italie. Malgré ses tentatives de réussite en Italie, elle a décidé de rentrer au Bangladesh, où elle a appris l'existence du projet Prottasha de l'OIM. L'équipe lui a apporté une éducation financière et un soutien en nature. Elle a enfin pu subvenir aux besoins de son fils, qui poursuit actuellement ses études.

Malgré les restrictions à la liberté de mouvement des femmes et un climat de peur, les travailleuses humanitaires continuent d'apporter un soutien vital aux femmes afghanes. Chaque mois, l' fournit une assistance à 162 000 femmes en Afghanistan.

Les migrants doivent souvent s’endetter pour financer leur périple migratoire, et cette dette continue de peser après leur retour. Une étude de l'OIM révèle que la majorité (72 %) des migrants de retour interrogés ont déclaré avoir emprunté de l'argent, dont 92 % doivent encore rembourser tout ou partie. Ces dettes limitent alors la capacité des migrants de retour à faire face aux difficultés économiques et à s'assurer des moyens de subsistance durables, ce qui entrave leur intégration économique. En outre, la dette a un impact considérable sur les réseaux sociaux des migrants de retour, limitant ainsi leurs systèmes de soutien.

Avant que la guerre ne débute en Ukraine, Tatiana était femme au foyer et s'occupait de ses deux jeunes enfants âgés de dix et six ans, dans la ville de Berdytchiv, au nord de l'Ukraine. Pendant son temps libre, elle travaillait comme couturière, confectionnant des jouets pour enfants, notamment des gnomes scandinaves. Réfugiée en Pologne depuis 2022, elle a fait de ce passe-temps un métier

Au cours des dix dernières années, les rapports faisant état de l’exploitation du travail des migrants, voire de travail forcé, se sont multipliés au Qatar. Après une période d’intenses négociations, l’État du Qatar et l’ (OIT) ont adopté et lancé un programme visant à soutenir des réformes majeures en matière de travail. 

Depuis 2015, l' et ses partenaires organisent chaque année un concours mondial de presse afin de récompenser une couverture médiatique exemplaire sur la migration de main-d'œuvre et le recrutement équitable.

Selon un de l' des millions de réfugiés et de migrants sont confrontés à de moins bons résultats en matière de santé que leurs communautés d'accueil, en particulier lorsque les conditions de vie et de travail sont inférieures aux normes.

L'Organisation internationale pour les migrations () mobilise des équipes et renforce ses capacités en Ukraine et dans les pays voisins pour répondre aux besoins humanitaires croissants des Ukrainiens forcés de fuir le pays et des personnes déplacées à l'intérieur du pays. Selon les premiers chiffres, au moins 600 000 personnes ont fui l'Ukraine dans les cinq premiers jours qui ont suivi le début des opérations militaires.  

Des femmes migrantes, victimes de traite depuis les pays voisins d'Amérique du Sud, se sont retrouvées à Trinité-et-Tobago où elles ont subi des violences sexuelles, physiques et psychologiques. L' encourage les victimes à demander de l'aide mais elles sont nombreuses à souffrir en silence parce qu'elles n'ont pas été formellement identifiées.

« Petits patrons et jeunes migrants : unis par les liens de l'apprentissage »  de Gurvan Kristanadjaja est l'un des lauréats du Concours mondial de presse 2021 sur la migration de main-d’œuvre.

Des dizaines de milliers de migrants voyagent chaque année entre la Corne de l'Afrique et le Yémen à la recherche d'opportunités de travail dans les États du Golfe. Ce couloir de migration, connu sous le nom de route de l’Est, est davantage utilisé que la route méditerranéenne vers l'Europe.

Chaque jour, à travers les villes d'Europe, les travailleurs de première ligne fournissent des services essentiels aux communautés de migrants dans un contexte difficile. Ils jouent un rôle essentiel dans la vie quotidienne de nombreux individus et familles en servant de lien entre ces communautés et le pays d'accueil. Who are these frontline workers? Qui sont ces travailleurs de première ligne ? Que font-ils, quels sont les obstacles auxquels ils sont confrontés dans leur travail quotidien, et comment instaurent-ils la confiance et communiquent-ils avec les personnes qu'ils desservent ? Quel est l'impact de leur travail sur leur propre vie ? L'OIM a fait la connaissance de neuf travailleurs de première ligne à travers toute l'Europe qui ont partagé leurs expériences. 

Kevin rêve d’être repéré par des recruteurs internationaux de football mais doit-il faire confiance à ces hommes qui lui offrent gloire et fortune ? Isabel veut régulariser son statut de migrante mais on ne cesse de lui répéter que c'est impossible. Deux scénarios très différents qui partagent un défi commun : le manque d'informations leur permettant de prendre des décisions en connaissance de cause. C'est ce que tentent de faire deux nouvelles campagnes de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).