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Auditions

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M. Bwalya a fait appel.

L'UNAT a estimé que M. Bwalya n'avait pas démontré que le Tribunal avait commis une erreur en concluant qu'il avait été établi par des preuves claires et convaincantes qu'il avait commis une faute en demandant à un membre du personnel du PNUD de falsifier un protocole d'accord antidaté entre le ministère éthiopien de l'Agriculture. et la société privée Digata et d'avoir fait une fausse déclaration dans un deuxième document, agissant intentionnellement pour éviter ou s'écarter du Règlement financier, des règles et procédures du PNUD à travers la création de ces...

L'UNAT a examiné un appel du participant au Fonds.

L’UNAT a estimé que les faits suggèrent que les fonds de règlement du retrait du participant ont été versés sur un compte bancaire qui n’avait pas été ouvert par lui. Dans le même temps, des questions restaient sans réponse quant à la façon dont M. Ambe-Niba avait des relevés bancaires et des chèques annulés de ce compte s'il ne l'avait pas ouvert. De plus, étant donné la différence entre le nom du participant et le nom du titulaire du compte bancaire, il n'y avait aucune explication quant à la raison pour laquelle le virement bancaire avait...

L'UNAT a estimé que le DT de l'UNRWA avait exercé à juste titre son large pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne sa gestion des dossiers en concluant que le dossier dont il disposait était suffisant pour rendre une décision sans audience. Elle a conclu que l'appelant n'avait présenté aucun motif expliquant pourquoi une audience aurait été nécessaire et n'avait donc pas démontré que la DT de l'UNRWA avait exercé son pouvoir discrétionnaire de manière à affecter l'issue de l'affaire, comme l'exige l'article 2( 1)(d) du Statut du Tribunal d’appel.

Concernant l'argument du recourant selon...

L'UNAT a rejeté la demande d'audience de l'appelant. Elle a estimé que, conformément à l'article 18 du règlement de procédure du Tribunal d'appel, une audience orale ne serait d'aucune utilité dans cette affaire, car la question à examiner était simple et non complexe.

L’UNAT a estimé que la tentative de l’appelant d’élargir la portée de la question à examiner était intenable. L'UNAT a conclu qu'il avait été clairement convenu lors de la discussion de gestion du cas (CMD) que la question à trancher était la reclassification souhaitée du poste de M. Menon du niveau P-4 au niveau P-5 et que les...

L’UNAT a rejeté la demande d’audience de l’appelant. Elle a estimé que le fait de l'entendre en personne n'ajouterait rien à son dossier présenté par écrit et qu'une audience orale ne contribuerait pas à un règlement rapide et équitable de l'affaire.

Le TANU a estimé qu'une grande partie des arguments avancés par l'appelant constituaient effectivement une nouvelle soumission de l'affaire soumise au Tribunal, mais qu'il n'a pas accepté.

L'UNAT a constaté que la structure du WSSCC avait été fermée le 31 décembre 2020 à l'instigation de ses donateurs et remplacée par une autre organisation (le...

2023-UNAT-1361, AAO

L'UNAT a estimé que le jugement du Tribunal était problématique parce que les conclusions du Tribunal semblaient être entièrement fondées sur des preuves par ouï-dire, c'est-à-dire les conclusions du rapport d'enquête du BSCI. L'UNAT a observé que le jugement du Tribunal n'a pas expliqué les éléments de preuve sur lesquels reposait sa conclusion selon laquelle le harcèlement sexuel était hautement probable, et n'a formulé aucune conclusion explicite ou précise concernant les témoignages présentés sous serment à l'audience. L’incapacité du Tribunal à tirer des conclusions sur les témoignages qu...

M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

M. Hassan a fait appel du jugement du Tribunal.

L'UNAT a estimé que l'appelant n'avait pas démontré que le Tribunal avait commis une erreur en concluant que sa requête n'était pas recevable ratione personae. L'UNAT a conclu qu'au moment de la décision de non-sélection contestée, le requérant avait cessé ses fonctions depuis plus d'un an et n'était plus membre du personnel. Il s'agissait d'un candidat externe qui n'avait pas qualité pour contester la décision de ne pas le sélectionner pour le nouveau poste d'associé à la réinstallation, dans la mesure où la décision n'affectait pas ses anciens...

L’UNAT a d’abord répondu à la demande d’audience du membre du personnel. Le fonctionnaire souhaitait présenter au Tribunal des preuves médicales prouvant son incapacité médicale. Le TANU a rejeté cet argument, soulignant que l'appel était une révision du jugement du Tribunal du Tribunal sur la base des éléments de preuve présentés au Tribunal et que le fonctionnaire n'avait pas demandé à présenter de nouveaux éléments de preuve. L'UNAT a également rejeté les arguments selon lesquels le fonctionnaire pourrait profiter de l'audience pour expliquer diverses politiques ou pour proposer une...

L’UNAT a d’abord rejeté la demande d’audience de M. Guenfoudi.

L'UNAT a conclu qu'en tant que membre de longue date du Secrétariat, M. Guenfoudi était conscient des normes de performance requises pour sa fonction de traducteur verbatim. L'UNAT a également estimé qu'il avait eu une possibilité équitable de remédier à ses lacunes en matière de performances, mais il a refusé de participer aux deux plans d'amélioration des performances. L’UNAT a estimé que le cadre juridique de l’Organisation indiquait clairement que le licenciement était une mesure prévisible après deux années consécutives de...