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Compétence / recevabilité (TCNU ou première instance)

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Le TANU a estimé qu'une lecture objective de la demande de révision de la décision présentée par l'agent montrait clairement qu'elle n'avait contesté que le deuxième et non le premier blâme, tous deux prononcés pour ne pas avoir exécuté les tâches d'enseignement qui lui avaient été confiées. Le TANU a considéré que les références au fonctionnaire ayant émis le blâme, à sa date et à la mesure corrective demandée étaient indiquées dans la demande. Le TANU a donc estimé que le DT de l'UNRWA n'avait commis aucune erreur de fait ou de droit en considérant que l'agent n'avait pas introduit de...

L'argument de la requérante selon lequel l'ancienne règle du personnel 3.17(b) (aujourd'hui règle du personnel 3.15) était/est pertinente aux fins du calcul du délai dans lequel elle aurait dû demander une évaluation de la gestion est erroné. L'ancienne règle du personnel 3.17(b) (maintenant règle du personnel 3.15) concerne la rétroactivité des paiements, et non la question de l'augmentation d'échelon qui est l'objet de sa demande.

 

Le Tribunal d'appel a rejeté l'appel. Le Tribunal d'appel a estimé que l'UNDT avait correctement jugé que la demande de M. Qasem devant l'UNDT contestant la décision de le placer en congé administratif avec traitement avait été déposée hors délai et n'était donc pas recevable ratione temporis. En outre, sa demande contestant la décision de mener diverses enquêtes à son sujet n'était pas recevable ratione materiae en l'absence d'une demande de révision de la décision. 

Le TANU a estimé que les tentatives de l'agent pour plaider à nouveau sa cause n'avaient pas permis d'identifier une quelconque erreur susceptible d'être examinée dans le jugement du TNDU, ce qui justifiait à lui seul le rejet de son recours.  En tout état de cause, indépendamment du bien-fondé de sa demande, le TANU a estimé que sa requête était prescrite en vertu de l'article 8, paragraphe 4, du statut du TANU, puisqu'elle l'avait introduite 27 ans après avoir reçu la décision contestée.  Rappelant qu'aucun des deux tribunaux n'est habilité à prolonger les délais dans ces circonstances, le...

Le courriel du conseil de la requérante du 12 juin 2023 n'a pas réinitialisé le délai pour permettre à la requérante de contester tous les commentaires de son superviseur dans son RAP, et il n'était pas non plus susceptible de suspendre le délai, étant donné que le délai de la requérante pour contester tous les commentaires de son superviseur a expiré avant la discussion du 12 juin 2023. Et comme il a été dit, il s'agissait d'une proposition dans le cadre d'une discussion inter partes qui n'impliquait pas le Bureau du Médiateur.

Étant donné que la requérante a obtenu le redressement qu'elle...

Le Tribunal a souscrit à la conclusion du Tribunal sur la recevabilité de la demande, mais a suggéré que le Tribunal aurait dû appliquer une méthode différente pour statuer sur la demande.

Le Tribunal a estimé que le fonctionnaire n’avait pas qualité pour agir devant le Tribunal en ce qui concerne les réclamations formulées en sa qualité d’entrepreneur individuel, de sorte que cette demande a été rejetée pour des motifs ratione personae. Les autres demandes formulées en sa qualité d’ancien fonctionnaire ont été rejetées pour des raisons ratione materiae. Il n’a pas réussi à le prouver qu’une...

Ayant reçu la réponse de l'évaluation de la gestion le 25 octobre 2022, le requérant disposait de 90 jours pour déposer une demande conformément à l'article 8(1)(d)(i(a) du Statut de l'UNDT. 8(1)(d)(i)(a) du Statut de l'UNDT, c'est-à-dire avant le 23 janvier 2023, mais ne l'a pas fait. Par conséquent, dans la mesure où la demande est fondée sur la réponse de l'évaluation de la gestion du 25 octobre 2022, elle n'est pas recevable ratione temporis.

En ce qui concerne la décision du 4 octobre 2022, le requérant n'a pas demandé l'évaluation de ladite décision par la direction et la requête n'est...

UNDT/2024/006, MP

Étant donné que l'ABCC a été conseillée par un organisme technique, sa décision ne nécessite pas d'évaluation de la part de la direction.

Le Tribunal a déterminé que la demande avait été correctement introduite mais qu'elle avait été rejetée parce que le Tribunal ne pouvait pas trouver de faute dans la décision de l'ABBC de rejeter la demande du requérant concernant le droit à une indemnisation pour les blessures et les maladies subies pendant et résultant d'un emploi au nom des Nations unies.

UNDT/2024/003, GUEZEL

L'absence d'explication justifiable de la part du défendeur pour le retard de décembre 2018 à juin 2021 ne pouvait être attribuée qu'à un manque de soin et de diligence, de transparence, de responsabilité et de bonne foi. Par conséquent, le Tribunal a estimé que le retard était indemnisable.

Le requérant a prouvé au-delà de la prépondérance des probabilités que le préjudice moral et émotionnel subi par les personnes à charge était directement imputable à la gestion négligente de l'affaire par l'administration.

L'allégation de préjudice moral a été suffisamment prouvée.

Le recours n'est pas recevable ratione materiae pour deux raisons. Premièrement, la décision prétendument contestée n'a pas la capacité de produire des conséquences juridiques directes affectant les conditions d'emploi du requérant et, par conséquent, n'est pas une décision administrative révisable relevant de la compétence du Tribunal. Deuxièmement, le requérant n'a pas déposé de demande d'évaluation de la gestion dans les délais légaux.