La principale question soulevée dans cet appel était de savoir si le Tribunal du contentieux du Tribunal avait eu raison de rejeter la requête de M. Shah comme étant irrecevable ratione materiae parce qu'il ne contestait pas une décision administrative finale. L'UNAT a estimé que le Tribunal avait conclu à juste titre qu'un mémorandum interservices modifiant les lignes hiérarchiques de tous les membres du personnel travaillant du côté indien du Groupe d'observateurs militaires de la Mission des Nations Unies en Inde et au Pakistan (UNMOGIP) ne constituait pas une décision administrative...
Compétence / recevabilité (TCNU ou première instance)
L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.
L'UNAT a estimé que, dans son appel, le fonctionnaire n'avait pas exposé les motifs de son appel, identifié les vices du jugement attaqué et démontré pour quels motifs il était erroné.
L'UNAT a noté qu'en arrivant à sa conclusion, la DT de l'UNRWA avait conclu que le fonctionnaire n'avait certes pas présenté de demande de révision de sa décision. La DT de l’UNRWA n’a pas commis d’erreur lorsqu’elle a estimé que la requête du fonctionnaire était pour cette raison irrecevable ratione materiae.
L'UNAT a rejeté l'appel et confirmé le...
AAF a fait appel.
Le TANU a estimé, comme le Tribunal, que le Secrétaire général n'avait commis aucune erreur de procédure qui aurait rendu illégale la décision contestée.
L'UNAT a estimé que les manquements au titre de l'article 2.2 de la norme ST/SGB/2019/3 ne pouvaient être considérés comme des irrégularités procédurales substantielles (rendant illégal le refus de mettre en œuvre des modalités de travail flexibles) que si l'absence de motivation avait eu un impact sur la procédure régulière du fonctionnaire. droits, à savoir la possibilité de contester la décision administrative devant le...
L’UNAT a d’abord examiné l’allégation du Secrétaire général selon laquelle le Tribunal avait commis une erreur en concluant que la candidature de M. Loto était recevable pour toute la période pendant laquelle il était en congé temporaire. Le Secrétaire général a soutenu que M. Loto avait contesté en temps opportun seulement une décision initiale en matière de congé non payé, et non une décision ultérieure lorsque le congé non payé avait été prolongé. L’UNAT a rejeté l’argument du Secrétaire général sur la recevabilité, estimant que celui-ci était forclos de le soulever en appel. L’UNAT a...
L'UNAT a estimé que l'UNRWA DT avait exercé son pouvoir discrétionnaire pour procéder par jugement sommaire, sans examiner le fond de l'affaire, de manière légale et appropriée. Elle a estimé que de cette manière, la DT de l'UNRWA avait agi non seulement conformément aux principes d'économie et d'efficacité judiciaires, mais également dans l'intérêt d'un règlement rapide de l'affaire. L'UNAT a constaté que le requérant a reçu la décision administrative contestée le 3 novembre 2009 et a déposé sa demande auprès du DT de l'UNRWA le 12 août 2022. Il était donc évident qu'il avait déposé sa...
Le Tribunal a estimé que les requérants n'avaient produit aucune preuve à l'appui de l’argument selon lequel les couples hétérosexuels se verraient accorder plus de jours de congé que les couples homosexuels. Le Tribunal a donc conclu que l'allégation d'inégalité de traitement n'avait pas été prouvée par les requérants. En conséquence, la demande a été rejetée.
Le requérant était tenu de présenter sa demande dans un délai de 90 jours. En comptant à partir du 12 octobre 2022, la période s'est terminée le 9 janvier 2023. Le requérant a introduit sa demande le 10 janvier 2023. Dans ces circonstances, la demande a été jugée non recevable ratione temporis.
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.
En l'espèce, le requérant n'a pas demandé le réexamen de la décision contestée par l'évaluation de la gestion, ce qui prive le Tribunal de sa compétence pour examiner cette question plus avant.