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Agriculture et alimentation

Aujourd'hui, nous sommes à un tournant. Le nombre de personnes vivant en situation d'extrême pauvreté a chuté, passant de 2 milliards en 1990 à 736 millions en 2015, mais les populations les plus pauvres et les plus marginalisées continuent d’être laissées pour compte. Pour atteindre les objectifs d’élimination de la pauvreté extrême et de la faim que le monde s’est fixés, il faut intensifier les investissements ciblés dans les zones rurales. Le Fonds international de développement agricole (FIDA) joue un rôle essentiel et lance son appel à reconstitution des ressources pour la période 2022- 2024.

handfuls of pulses

Haricots secs, lentilles, pois chiche… La cuisine et les plats traditionnels des quatre coins du monde font la part belle aux légumineuses, qui existent depuis des millions d’années. Les légumineuses sont riches en nutriments et ont une teneur élevée en protéines, ce qui en fait une source de protéines idéale, en particulier dans les régions où la viande et les produits laitiers ne sont pas accessibles pour des raisons géographiques ou économiques. La Journée internationale des légumineuses (10 février) est une occasion unique de sensibiliser le public à leurs avantages nutritionnels et aux possibilités qu'elles offrent en vue d'atteindre les Objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030.

Depuis 2011, le conflit syrien a durement frappé les familles, en particulier les femmes. Beaucoup ont perdu un mari, un père, un soutien. Certaines ont dû repartir de rien. Elles ont dû apprendre à trouver les formations et les ressources dont elles avaient besoin. L'Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) s'est associée au projet « Slow Food International » pour offrir aux femmes syriennes la possibilité d'acquérir les compétences et la confiance dont elles ont besoin pour développer leur production agricole et identifier des marchés. 

 

La portabilité et la mobilité des technologies numériques peuvent transformer l'agriculture et la production alimentaire, explique l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Ce que nous mangeons et buvons peut affecter notre capacité à lutter contre les infections et le risque de problèmes de santé à un âge plus avancé, rappelle l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). 

La Guajira est la province la plus au nord de la Colombie. L’aridité des terres et les conditions climatiques extrêmes font qu’il est difficile pour les populations de pratiquer l’agriculture et d’élever du bétail. Les communautés qui vivent dans ces zones rurales sont vulnérables à l’insécurité alimentaire. L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en œuvre un programme visant à soutenir et à former les agriculteurs en vue d’augmenter leur production alimentaire.

En Espagne, un groupe de chercheurs à l’avant-garde contribue à la lutte contre la faim. Ils font partie de l’observatoire espagnol du droit à l’alimentation, réseau d’universitaires unique en Europe.

Nous n’avons plus que 10 ans pour réaliser les Objectifs de développement durable. Puisque tous les défis auxquels le monde est confronté sont interreliés, les solutions doivent l’être aussi. En encourageant des systèmes alimentaires et agricoles durables à travers le monde, nous réduirons la pauvreté et la faim, nous contribuerons à lutter contre le changement climatique et à préserver nos ressources naturelles pour les générations futures. Transformer les systèmes alimentaires et agricoles, c’est transformer notre avenir, souligne l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).

Dans la campagne bolivienne, un secteur en pleine expansion ouvre des perspectives alléchantes aux communautés rurales : la production de chocolat. Lorsqu’il est question de chocolat, la Bolivie n’est peut-être pas le premier pays qui vient à l’esprit pour l’instant mais, grâce aux efforts concertés de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et à des groupements de petits exploitants et de producteurs autochtones, les choses sont sur le point de changer.

Nous avons besoin de nous nourrir mais notre alimentation, en particulier dans les pays développés, est en train de tuer l’humanité et la planète. Les maladies provoquées par les régimes alimentaires à base de viande et de produits laitiers augmentent de manière exponentielle, tandis que plus de 820 millions de personnes ne mangent pas à leur faim.

La Décennie des Nations Unies pour l'agriculture familiale est plus que jamais l’occasion de souligner le rôle important que jouent les agriculteurs familiaux dans l'éradication de la faim et la construction de notre avenir alimentaire. 

Leur taille est modeste mais ils sont puissants. Dévastant les cultures, les criquets sont parmi les plus anciens ravageurs du monde et constituent une menace grave pour la production agricole et la sécurité alimentaire. Le dispositif eLocust3 de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) est une application, disponible en anglais, en français et en arabe, qui enregistre et transmet les données en temps réel par liaison satellite aux centres nationaux antiacridiens et au Service d’informationsur le Criquet pèlerin, basé à Rome.

Au Mexique, l'agriculture est essentiellement familiale et plus d'un quart des agriculteurs familiaux sont des autochtones comme Benito González. Dans le village de Tierras Amarillas (Terres jaunes), où les terres arables sont rares, la plupart de la population ne réussit pas à cultiver assez de nourriture pour nourrir sa famille et encore moins pour la vendre. Grâce au soutien de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), les agriculteurs n'ont plus besoin de migrer vers les grandes villes pour manger et cultivent leurs aliments de façon autonome.

Une personne sur neuf se couche chaque soir le ventre vide. Pourtant, la faim reste l’un de nos défis les plus accessibles, car nous avons les moyens de nourrir tout le monde. Pour y parvenir, il est toutefois impératif de s’attaquer au gaspillage alimentaire.

Les petits États insulaires, comme les Comores, ont pu bénéficier de formations ciblées pour développer une production alimentaire intelligente face aux changements climatiques.