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Compétence / recevabilité (TCNU ou première instance)

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UNDT/2024/003, GUEZEL

L'absence d'explication justifiable de la part du défendeur pour le retard de décembre 2018 à juin 2021 ne pouvait être attribuée qu'à un manque de soin et de diligence, de transparence, de responsabilité et de bonne foi. Par conséquent, le Tribunal a estimé que le retard était indemnisable.

Le requérant a prouvé au-delà de la prépondérance des probabilités que le préjudice moral et émotionnel subi par les personnes à charge était directement imputable à la gestion négligente de l'affaire par l'administration.

L'allégation de préjudice moral a été suffisamment prouvée.

Le recours n'est pas recevable ratione materiae pour deux raisons. Premièrement, la décision prétendument contestée n'a pas la capacité de produire des conséquences juridiques directes affectant les conditions d'emploi du requérant et, par conséquent, n'est pas une décision administrative révisable relevant de la compétence du Tribunal. Deuxièmement, le requérant n'a pas déposé de demande d'évaluation de la gestion dans les délais légaux.

M. Ronved a fait appel.

L'UNAT a rejeté l'appel et confirmé le jugement du UNDT.

L'UNAT a estimé que le Tribunal avait commis une erreur en jugeant la requête irrecevable en ce qui concerne le refus d'une promotion temporaire à la classe P-4. La décision contestée devant le Tribunal du contentieux administratif était la décision de proroger le SPA, que l'appelant a contestée en temps utile devant le MEU et le Tribunal du contentieux administratif du Tribunal. La prolongation du PSA et le refus d'accorder une promotion étaient les deux faces d'une même décision, avec les mêmes délais pour le...

L’UNAT a rejeté la demande d’anonymat de l’appelant car la question soulevée dans son appel était purement procédurale et juridictionnelle et ne concernait aucune donnée personnelle devant être protégée.

L’UNAT a également rejeté la demande d’audience de l’appelant, estimant que cela n’aiderait pas le Tribunal d’appel à régler l’affaire de manière rapide et équitable.

L'UNAT a estimé que le requérant ayant déposé sa requête 93 jours après la réception de la décision administrative contestée, celle-ci n'était pas recevable, sauf renonciation au délai par le Tribunal. L’UNAT a observé qu’étant...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a constaté que le rapport de recommandation ne fournissait aucune explication permettant de comprendre la justification de la décision de non-sélection. L'UNAT a noté qu'aucune information n'avait été fournie au cours de la procédure judiciaire quant aux raisons pour lesquelles le candidat externe était le candidat le plus approprié. L'UNAT a estimé que, dans un souci de raisonnabilité, d'équité et de transparence, l'Administration était censée fournir des raisons pertinentes et véritables à l'appui de son choix final. L'UNAT a...

Cette demande ne répond pas aux exigences de l'art. 12(3) du Statut de l'UNDT et l'art. 30 du Règlement intérieur de l'UNDT. Il n'est pas nécessaire de clarifier le sens de l'arrêt Ocokoru UNDT/2015/004 puisqu'il a été pleinement mis en œuvre il y a des années. En outre, les motifs soumis par le requérant comme base d'interprétation ont déjà été clairement et sans ambiguïté déterminés par ce Tribunal auparavant. Par conséquent, le Tribunal rejette la requête dans son intégralité.

UNDT/2023/132, Naji

Le Tribunal estime que le requérant conteste une décision administrative qui ne serait pas conforme à ses conditions de nomination ou à son contrat de travail et qu'il ne conteste pas la légitimité de la résolution 66/234 de l'Assemblée générale. La requête est donc recevable.

La résolution de l'Assemblée générale, le règlement du personnel et les principes et lignes directrices de la CFPI sont clairs et sans ambiguïté. Ces règles stipulent que les agents des services généraux qui souhaitent postuler à un poste d'administrateur doivent d'abord passer l'examen G à P, à moins qu'une dérogation...

La demande a été déposée sans avoir été précédée d'une demande d'évaluation de la gestion et l'objet de la plainte ne comprend pas de décision administrative. La requérante n'a pas demandé d'évaluation par la direction de la décision finale de non-sélection, ce qui était nécessaire pour la contester. Elle a seulement demandé une évaluation de la décision de ne pas la convoquer à un entretien basé sur les compétences.

La requérante cherche à contester une étape préliminaire d'un processus de sélection, qui ne peut être contestée que dans le contexte d'une décision de sélection finale. Il s...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

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L'UNAT a examiné un appel du Secrétaire général de l'OMM. L'UNAT a estimé que le fonctionnaire cherchait à adhérer à une modification convenue de son contrat qui, en échange d'un raccourcissement de sa durée d'emploi, lui donnait droit à une indemnité de licenciement.

L'UNAT a noté que le Tribunal avait eu raison d'établir comme condition de recevabilité l'effet direct et négatif provoqué par la mise en œuvre de la décision contestée. L’UNAT était d’avis que la décision de l’OMM visant à résilier son accord affectait les projets professionnels et personnels établis par le fonctionnaire...