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Le TANU a estimé que la décision administrative concernant les remboursements à l'agent a pris effet en droit le 7 mai 2019, date à laquelle il a reçu le virement de l'Organisation.  Les raisons de ce montant de remboursement ont été discutées avec lui peu de temps avant que le virement ne soit effectué.  Bien que les explications des calculs sous-jacents aient été répétées dans des échanges de courriels ultérieurs avec le membre du personnel, ces répétitions ne constituaient pas des décisions administratives supplémentaires ou nouvelles susceptibles d'être contestées par le membre du...

Le TANU a noté que l'essence de la décision administrative était que l'agent n'avait pas le droit d'encaisser des congés annuels non utilisés provenant d'un second engagement pris dans les 12 mois suivant l'abandon d'un premier engagement après lequel ces congés avaient été commués.

Le TANU a observé que la demande d'évaluation de l'encadrement formulée par l'agent faisait référence au prétendu "manquement persistant" de l'administration à l'obligation d'indemniser l'agent pour le rachat de ses congés annuels. Le TANU a estimé que cette référence renforçait la conclusion selon laquelle c...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

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Le commissaire général a fait appel.

L'UNAT a estimé que dans la mesure où la décision de l'Agence du 25 avril 2019 rejetant la demande de SPOA n'aurait pas pu être sans équivoque, cette décision a été réitérée dans le courrier électronique du 17 juin 2019, ne laissant aucun doute sur le fait que l'Agence avait alors décidé de payer Mme Abou Salah une SPOA de 15 pour cent au lieu de 25 pour cent, peut-être en violation de son contrat. Le fait que d’autres personnes aient par la suite cherché à intervenir en sa faveur n’y change rien.

L’UNAT a estimé que la correspondance ultérieure de Mme...

Mme Mkhabela a fait appel.

En ce qui concerne la recevabilité ratione temporis, l'UNAT a estimé que le RC ne pouvait pas être considéré comme ayant légalement prolongé les délais de dépôt d'une demande de contrôle hiérarchique. Outre le fait qu’il n’existe aucune preuve d’une telle promesse, la vérité est que le CR ne disposait pas d’un tel pouvoir, qui est uniquement conféré au Secrétaire général, comme le prescrit l’article 11.2(c) du Règlement du personnel. De même, l'affirmation de Mme Mkhabela selon laquelle elle n'a pas été informée des raisons ou de la décision de s'écarter du plan de...

La requérante a commis une erreur en estimant que le BSCI ne faisait pas partie de l'Administration et que sa décision ne constituait pas une décision administrative définitive susceptible d'être contestée. En effet, le BSCI fait partie du Secrétariat. Il « opère sous l’autorité » du Secrétaire général, tout en conservant son « indépendance » opérationnelle. En conséquence, les décisions prises par le BSCI peuvent constituer, en fait, une décision administrative définitive.

Le fait que le requérant ait présenté deux rapports, l'un au BSCI et l'autre à l'Administration, n'obligeait aucune...

À titre préliminaire, Unat a rejeté les appels de deux membres du personnel qui n'étaient pas partie à la procédure devant l'UNDT et n'avaient pas de position. Sur le fond, Unat a jugé qu'il y avait une décision administrative révisable au sens de l'article 2, paragraphe 1, a) de la loi UNDT. Unat a jugé que l'UNDT avait commis une erreur en concluant que l'annonce par l'USG / DGACM datée du 8 avril 2021 que la charge de travail quotidienne des traducteurs serait passée à 5,8 pages et de l'auto-retour à 6,4 pages, n'était pas une décision administrative appelable aux fins des fins de Article 2...

Unat a jugé qu'il n'était pas contesté que l'appelant n'avait soumis aucune demande d'évaluation de la direction avant plus d'un an après avoir été informé qu'il n'avait été sélectionné pour le poste en question. Unat a jugé que l'UNDT, en vertu de l'article 11.1 de la loi UNDT, était obligé de rendre un jugement par écrit, indiquant les raisons, les faits et la loi sur lesquels il était fondé. Unat a jugé que les décisions de l'UNDT, selon lesquelles l'appelant avait été correctement signifiée par écrit en conformité avec l'ancien règlement du personnel 111.2 et que l'article 8.3 a interdit à...

Unat a jugé que le fait que la décision non renouvelable avait été communiquée verbalement était, en soi, sans conséquence, car il n'y a aucune exigence explicite en droit qu'une telle notification soit écrite. Unat a noté que la règle du personnel 11. 2 (c) ne nécessite pas de notification écrite comme condition préalable pour contester une décision administrative. Unat a confirmé le jugement de l'UNT rejetant la demande du membre du personnel, mais a annulé, il conclut que la demande était à recevoir.

2018-UNAT-886, Rehman

UNAT a considéré la réalisation de l'appel, s'il y avait une irrégularité procédurale et si l'appelant avait droit à des dommages moraux. Unat a jugé que l'appel était à recevoir parce qu'il était déposé en temps opportun, selon les articles 7 et 29 du ROP. Unat a jugé que UNDT avait commis une erreur de droit en concluant que l'administration n'avait pas correctement informé l'appelant de sa non-sélection parce qu'elle connaissait sa non-sélection assez tôt pour contester en temps opportun la décision. Unat a constaté que UNDT avait commis une erreur en droit et a dépassé sa compétence dans l...