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Compétence / recevabilité (TCNU ou première instance)

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M. Hassan a fait appel du jugement du Tribunal.

L'UNAT a estimé que l'appelant n'avait pas démontré que le Tribunal avait commis une erreur en concluant que sa requête n'était pas recevable ratione personae. L'UNAT a conclu qu'au moment de la décision de non-sélection contestée, le requérant avait cessé ses fonctions depuis plus d'un an et n'était plus membre du personnel. Il s'agissait d'un candidat externe qui n'avait pas qualité pour contester la décision de ne pas le sélectionner pour le nouveau poste d'associé à la réinstallation, dans la mesure où la décision n'affectait pas ses anciens...

L'UNAT a examiné un appel de M. Dorji.

L'UNAT a estimé que l'appel était défectueux dans la mesure où il n'avait identifié aucun des cinq moyens d'appel énoncés à l'article 2(1) du Statut comme constituant la base juridique de l'appel. Comme le TCNU l'a estimé à juste titre, la démission forcée alléguée de M. Dorji et sa séparation ultérieure de l'Organisation ont eu lieu en mars et avril 2019. La demande de contrôle hiérarchique de M. Dorji a été déposée en dehors du délai légal de 60 jours de plus de deux ans, le 25 juin 2021.

L'UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement n° UNDT/2021...

Le Tribunal a formulé les observations suivantes : (a) la règle du personnel 8.1(d) régit les relations du personnel et habilite spécifiquement les scrutateurs à organiser les élections des représentants du personnel sur la base des règles et règlements applicables aux élections du personnel, (b) la règle du personnel 8.1(d) ne fait aucune référence au droit contractuel individuel d'un membre du personnel, et (c) s'il y avait un différend concernant la règle du personnel 8.1(d) sur le secret et la régularité du vote, la disposition ne régit pas les modalités de résolution de ce différend.

L...

L’UNAT a d’abord répondu à la demande d’audience du membre du personnel. Le fonctionnaire souhaitait présenter au Tribunal des preuves médicales prouvant son incapacité médicale. Le TANU a rejeté cet argument, soulignant que l'appel était une révision du jugement du Tribunal du Tribunal sur la base des éléments de preuve présentés au Tribunal et que le fonctionnaire n'avait pas demandé à présenter de nouveaux éléments de preuve. L'UNAT a également rejeté les arguments selon lesquels le fonctionnaire pourrait profiter de l'audience pour expliquer diverses politiques ou pour proposer une...

Mme Mkhabela a fait appel.

En ce qui concerne la recevabilité ratione temporis, l'UNAT a estimé que le RC ne pouvait pas être considéré comme ayant légalement prolongé les délais de dépôt d'une demande de contrôle hiérarchique. Outre le fait qu’il n’existe aucune preuve d’une telle promesse, la vérité est que le CR ne disposait pas d’un tel pouvoir, qui est uniquement conféré au Secrétaire général, comme le prescrit l’article 11.2(c) du Règlement du personnel. De même, l'affirmation de Mme Mkhabela selon laquelle elle n'a pas été informée des raisons ou de la décision de s'écarter du plan de...

Le Tribunal a noté que les éléments de preuve dont il disposait comprenaient deux notifications Microsoft Outlook qui établissaient que la décision administrative avait été remise au requérant et lue par lui le 28 mars 2023. Le Tribunal a également noté que le requérant n'a pas nié l'authenticité des notifications Microsoft Outlook.

Le Tribunal a donc estimé que le requérant aurait dû déposer sa requête au plus tard le 26 juin 2023 pour respecter le délai de 90 jours calendaires. Il a déposé sa requête le 28 juin 2023, soit deux jours après le délai légal. En conséquence, la requête a été...

Le requérant ne conteste pas le fait qu'il a pris connaissance de la décision attaquée au plus tard le 31 décembre 2021, lorsqu'il a cessé ses fonctions, et qu'il a demandé l'évaluation par la direction de la décision attaquée le 15 avril 2023, soit plus d'un an après le délai légal.

Pour justifier l'introduction tardive de sa demande de contrôle hiérarchique, le requérant invoque son état de santé. Le Tribunal n'est cependant pas compétent pour "suspendre ou supprimer les délais de contrôle hiérarchique" (art. 8.3 de son Statut).

Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande de...

Ayant reçu la notification de la mesure disciplinaire le 20 mars 2023, le requérant aurait dû déposer sa demande au plus tard le 19 juin 2023. Les preuves au dossier montrent cependant que le requérant n'a déposé sa requête que le 21 juin 2023.

Dans ses observations datées du 17 juillet 2023, le requérant reconnaît son retard et demande au Tribunal de recevoir exceptionnellement sa demande pour plusieurs raisons. Ces raisons ne sont pas étayées par des preuves et le requérant n'a pas expliqué comment les difficultés alléguées ont eu un impact sur sa capacité à déposer sa demande dans les...

En tant que titulaire d'une offre d'affectation d'un Volontaire des Nations Unies, le requérant ne peut pas introduire une requête devant le Tribunal, car il n'est ni un membre du personnel ou un ancien membre du personnel des Nations Unies, ni une personne faisant des réclamations au nom d'un membre du personnel des Nations Unies frappé d'incapacité ou décédé.

Deuxièmement, il n'y a aucune preuve que le requérant a soumis une demande d'évaluation de la gestion en temps voulu.

Par conséquent, la demande n'est pas recevable reatione personae et ratione materiae.