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Femmes et égalité femmes-hommes

En Afghanistan, la seule solution pour une paix et un développement durable et inclusif est de protéger les droits de toutes les personnes, et notamment celle des enfants. 

A group of women sitting in a circle on the floor.

La pandémie de COVID-19 a des conséquences désastreuses pour les victimes et les personnes rescapées de violences sexuelles liées aux conflits. Ces violences font partie de crimes les moins souvent signalés et leur dénonciation a été rendue encore plus difficile avec la pandémie. La maladie a limité la possibilité pour les victimes et les personnes rescapées de dénoncer ces actes et elle a aussi aggravé les obstacles structurels, institutionnels et socioculturels aux signalements. En cette Journée internationale pour l'élimination de la violence sexuelle en temps de conflit, attachons-nous à défendre les droits et à satisfaire les besoins de toute personne rescapée, ainsi qu’à empêcher et à faire cesser ces crimes épouvantables.

Les femmes sont en train de payer un prix énorme au cours de cette pandémie de COVID-19. En attendant des données complètes, les chercheurs et chercheuses constatent des tendances à l’augmentation de la mortinatalité, de la mortalité maternelle et à la dégradation de la santé maternelle dans le monde. Les femmes semblent également beaucoup plus affectées que les hommes par la perte d’emploi liée à la pandémie. Tous ces facteurs affectent négativement la santé et le bien-être à long terme des mères. 

Il y a un an, le monde a changé. Si les conséquences de la pandémie sur les travailleurs ont varié d’un pays à l’autre, la nouvelle réalité a mis de nombreuses mères en difficulté. En effet, la fermeture des écoles et des structures d’accueil a contraint beaucoup d’entre elles à quitter leur emploi ou à réduire leurs heures de travail. De nouvelles estimations du FMI confirment les répercussions considérables de la pandémie sur les mères qui travaillent, et sur l’économie tout entière. En résumé, dans le monde du travail, les femmes qui ont de jeunes enfants ont été les premières victimes des confinements économiques. 

Des données recueillies dans 57 pays montrent que près de la moitié des femmes voient leur autonomie corporelle bafouée. Le rapport 2021 sur l’état de la population mondiale, intitulé « Mon corps m’appartient », est le premier rapport des Nations Unies qui se concentre sur la capacité et les moyens des individus de faire des choix concernant leur corps sans peur, violence ni contrainte. Le  présenté sept idées reçues très répandues sur l’autonomie corporelle, et nous explique pourquoi il est essentiel de les abandonner définitivement. 

 

Des filles du monde entier utilisent l’innovation et la technologie pour résoudre des problèmes, unir les communautés et comme force pour le bien et l’égalité. Et pourtant, les femmes et les filles sont toujours sous-représentées dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM). Dans une économie mondiale de plus en plus numérisée, la fracture numérique entre les sexes a de graves répercussions sur les droits des filles et des femmes. Pour , trois choses sont nécessaires : faciliter un accès équitable aux technologies numériques et à Internet pour les filles et les femmes ; encourager et investir dans les filles et les femmes afin de développer leurs compétences dans le domaine des technologies de la communication et de l’information (TIC) ; et permettre aux femmes et aux filles d’occuper des rôles de leadership dans les domaines de la technologique.

 

Des données recueillies dans 57 pays montrent que près de la moitié des femmes voient leur autonomie corporelle bafouée, souligne le Rapport 2021 sur l’état de la population mondiale, intitulé «  » et publié par le Fonds des Nations Unies pour la population (). Il s'agit du premier rapport des Nations Unies qui se concentre sur la capacité et les moyens des individus de faire des choix concernant leur corps sans peur, violence ou contrainte. Ce rapport fait le bilan des données rapportées à l’ONU sur le pouvoir de décision des femmes et sur les lois qui défendent les droits et la santé sexuelle et reproductive. 

Malala Yousafzai avait 11 ans lorsque les talibans ont annoncé à la radio que les filles ne pouvaient plus aller à l’école au Pakistan.

Des millions de femmes et de filles sont privées de leur droit à s’exprimer en matière de sexualité, à dire oui à la contraception, et à prendre leurs propres décisions de santé. Notre monde doit devenir un espace où le corps de toutes les femmes et de toutes les filles leur appartient réellement, explique ce reportage du Fonds des Nations Unies pour la population (). 

 

Tout le monde est impressionné par Khowla Mohamed Abdow. À 25 ans, elle coordonne le Centre de médiation selon des modes alternatifs de règlement des conflits de Baidoa, dans le sud-ouest de la Somalie, un établissement du Ministère de la Justice soutenu par le Programme des Nations Unies pour le développement (). 

La 65e session de  se tiendra du 15 au 26 mars 2021. 

Cette année, le programme de pointe pour l’entrepreneuriat féminin en apiculture « Des femmes pour les abeilles » sera parrainé par l’actrice Angelina Jolie.

Tous les jours, à travers ses actions et par la façon dont elle agit, la Génération Égalité remet en cause les normes, transforme les habitudes, change les lois, prend des mesures et inspire d’autres personnes afin qu’elles créent un monde dans lequel la discrimination basée sur le genre n’existe plus. Découvrez cette Génération Égalité qui monte !

Le projet Saúde das Manas (« La santé des sœurs »), un partenariat entre le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et le Conseil des départements municipaux de santé de Pará (Cosems/PA), au Brésil, vise à renforcer la qualité des soins de santé procréative proposés par le système de santé local, en pleine pandémie de COVID-19, par la mise en place de bureaux de télémédecine au sein de sept cliniques médicales. Ce programme permet désormais d’aider 80 000 femmes en âge de procréer.

Le 11 février dernier, à l'occasion de la Journée internationale des femmes et des filles de science, l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture () et la Fondation L’Oréal ont distingué dans les domaines de l’astrophysique, des mathématiques, de la chimie et de l’informatique dans le cadre du 23e Prix international Pour les Femmes et la Science. Découvrez le palmarès des cinq femmes scientifiques d'exception reconnues pour l'excellence de leurs recherches dans les sciences de la vie.