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Femmes et égalité femmes-hommes

Il y aura bientôt un an que l’épidémie de COVID-19 a été déclarée comme pandémie par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Tous les pays du monde ont ressenti d’une manière ou d’une autre les effets de cette pandémie. Les femmes et les filles qui se sont investies dans les sciences sont en première ligne de la riposte. Elles dispensent des soins de santé et elles découvrent des innovations. Elles se livrent à des recherches sur les vaccins et sont des pionnières de certains traitements, comme l’explique , l'Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes. 

 

 

Février est un mois au cours duquel les fleuristes et les bijouteries ont beaucoup de travail. Ce ne sont malheureusement pas les seuls. Les défenseur·e·s des droits sont aussi très occupé·e·s à éliminer deux pratiques qui mettent fin à l'enfance pour des millions de filles : le mariage d'enfants et les mutilations génitales féminines. La COVID-19 rend les choses encore plus difficiles. Le Fonds des Nations Unies pour la population () et l’ appellent à protéger d'urgence les filles.

 

, l'Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes, a mis en ligne un glossaire illustrant les diverses formes de violence à l’égard des femmes et des filles et d’autres termes communément utilisés. 

La journaliste et auteure Isha Sesay, de la Sierra Leone, a rejoint le Fonds des Nations Unies pour la population () en tant qu'Ambassadrice de bonne volonté pour aider à sensibiliser à la violence basée sur le genre, et soutenir les efforts visant à y mettre fin.

Dans le cadre des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre (du 25 novembre au 10 décembre), le Fonds des Nations pour la population (UNFPA) a travaillé avec l’artiste Etinosa Yvonne, originaire du Nigéria pour produire ce récit interactif, qui s’inscrit dans le prolongement du projet multimédia de l'artiste-photographe intitulé « It’s All In My Head ». Ce récit documentaire explore les mécanismes d’adaptation des survivantes à des conflits violents au Nigéria.

 

Intisar, 55 ans, a survécu à un cancer du sein et elle vit à Deir al-Balah, dans la bande de Gaza. Le taux d’incidence du cancer du sein est en hausse en Palestine ces dernières années, en partie à cause d’une sensibilisation et d’un dépistage accrus, mais également du mode de vie et des habitudes alimentaires liées à la pauvreté. 

 

La pandémie de violence à l’égard des femmes n’est pas nouvelle. présente dix manières de changer les choses, en toute sécurité et avec l’impact voulu.

 Les femmes et les filles du Honduras sont en danger suite au passage de l'ouragan Eta. Plus de 1,6 million de personnes ont été touchées dans le pays, et quelque 12 000 d’entre elles vivent actuellement dans des abris, explique le Fonds des Nations Unies pour la population (). 

Une mortinaissance a lieu toutes les 16 secondes. Cela signifie qu’environ deux millions d’enfants naissent mort-nés chaque année. La majorité de ces décès auraient pu être évités grâce à des soins de qualité prodigués pendant la grossesse et au moment de la naissance, explique le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (). 

En ce mois d’octobre, le Conseil de sécurité des Nations Unies marque les deux décennies écoulées depuis l’adoption historique de la résolution 1325 (2000), qui a consacré pour la première fois le rôle essentiel des femmes dans l’instauration et le maintien de la paix. Ce 20e anniversaire a lieu à l’heure où 2 milliards de personnes vivent dans des pays affectés par des conflits. Malgré des obstacles considérables, les femmes s’emploient à instaurer et à maintenir la paix. Elles le font même au milieu de la pandémie de COVID-19 mais elles restent encore trop souvent tenues à l’écart des groupes de décision. 

 

Rimu Sultana Rimu sait que l’éducation, c’est le pouvoir. En tant que jeune activiste rohingya vivant à Cox’s Bazar, l’un des plus vastes camps de réfugiés au monde, elle a fait de l’alphabétisation sa mission.

Voici une rétrospective des grandes avancées, des moments de célébration et des revers rencontrés sur le long chemin vers la paix mondiale pour les femmes et pour les filles.

Depuis 1995, 180 millions de filles de plus se sont inscrites dans l'enseignement primaire et secondaire. Cependant, malgré une augmentation à tous les niveaux de l'éducation, les filles sont toujours plus susceptibles d’être exclues que les garçons et cette exclusion s’est accrue en raison de la pandémie actuelle. Il est donc essentiel que les gouvernements s'attaquent à une discrimination persistante pour parvenir à l'égalité pour la prochaine génération de filles, affirme le Rapport mondial de suivi sur l'éducation (GEM) intitulé « Une nouvelle génération : 25 ans d'efforts pour atteindre l'égalité des genres dans l'éducation ».

 

school girls laughing

Les progrès des filles n'ont pas suivi le rythme des réalités auxquelles elles sont confrontées aujourd'hui, et la  a renforcé bon nombre de ces lacunes. Cette année, sous le thème «  », la Journée internationale de la fille sera l’occasion de nous inspirer de leur mobilisation. Quels sont les changements souhaités par les filles ? Quelles solutions - grandes et petites - mettent-elles en oeuvre à travers le monde ? Profitons de cette occasion pour  un monde meilleur qui s’inspire des adolescentes, un monde où elles sont mobilisées et reconnues, un monde où on l’on compte et mise sur elles.

 

 

La question que nous devons nous poser est la suivante : pourquoi le leadership des femmes est-il invisible  ? Découvrez 5 récits présentés par ONU-Femmes.